
Anciennement journaliste pour le Japan Times, Akiko Fukami évoque les heures et les jours qui ont suivi la catastrophe ainsi que les difficultés liées au choix d’être revenue vivre à Fukushima en famille. Prolixe, elle n’hésite pas à émettre de vives critiques sur l’impréparation dont ont fait preuve les autorités japonaises, et, en professionnelle de l’information qu’elle est restée, sur les nombreuses tentatives de manipulation et travestissement des faits.