La série de miniatures du projet « Japan Breakfast » s’achève sur une pièce composée en arrivant en Tasmanie (janvier 2011), dont le thème est l’électricité, et particulièrement, sa pénurie, ce qui semble prémonitoire de la catastrophe de Fukushima, et questionne notre utilisation de forces qui nous dépassent.
« Si nous venions à manquer d’électricité, on pourrait toujours se mettre à gratter les cordes d’une ramification désincarnée, d’une communication coupée, d’une bifurcation imaginaire. »
Salamanca Art Center-Hobart-Tasmania, 7 janvier 2011, 10h57
« Imagine if we ran out of electricity! How would life be different? » Tristan Stowards
Gallery-sitter, Julia Drouhin recorded Tristan Stowards installation, Tin Can Telephone, in Salamanca Art Center, Hobart, Tasmania, in 2011. Strings, cans, rocs, radio melodies and space are connected when the listener put his ear in a can.
If we ran out of electricity, we can always scrape the strings in a disembodied ramification, a disconnected communication, an imaginaries modification.
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